Mis sur pied en 2014, les Midis du CRHiDI sont l'occasion de donner la parole aux chercheur·e·s du centre (ou d'institutions extérieures) afin de présenter une recherche en cours. Ils doivent permettre de montrer l'actualité des recherches en histoire du droit, des institutions et de la société telles qu'elles sont menées actuellement.
Intervenant : Julien Adam (Les Amis du château médiéval de Moha ASBL)
Modération : Éric Bousmar (USL-B/CRHiDI)
Bâtie entre le Xe et le XIVe siècle sur un éperon rocheux situé à la confluence de la Mehaigne et de la Fosseroule, la forteresse de Moha fut occupée successivement par les Comtes de Moha, par la puissante famille de Dasbourg et par les Princes-Evêques de Liège. Loin d’être homogène, son architecture a significativement évolué au fil du temps, empreinte de normes régionales ou d’influences extérieures nouvelles, dans le but de répondre aux exigences militaires, résidentielles et politiques de ses propriétaires. Plus que cela, elle deviendra également un formidable symbole du pouvoir et de l’autorité épiscopale après son annexion à la Principauté de Liège sous Hugues de Pierrepont. Par l’étude conjointe des documents d’archives et des données archéologiques récemment acquises, cette communication vise à faire le point sur les grandes phases de construction et de transformation de la forteresse de Moha, en éclairant les raisons qui auraient pu pousser ses propriétaires successifs à optimiser les structures existantes ou entreprendre de nouveaux aménagements.
14/03/2022
12h30-14h
Local 3200 ! Changement de local ! (vers le plan d'accès)
Université Saint-Louis - Bruxelles
Bvd du Jardin Botanique, 43
1000 Bruxelles
Accueil et présentation de l'intervenant - Exposé - Discussion modérée par le Prof. Eric Bousmar
Des sandwiches seront prévus.
La participation aux Midis et au lunch est gratuite, mais sur inscription via ce FORMULAIRE, pour le 09/03/2022.
Depuis le 07/03/2022, l'Université Saint-Louis - Bruxelles est passée en Code jaune : l’utilisation du Covid Safe Ticket prend fin pour les évènements scientifiques notamment, et plus aucune restriction ne s’impose en termes de limitation du nombre de personnes à l’intérieur. Le port du masque et la distanciation physique ne sont plus obligatoires ; ils demeurent toutefois des mesures de prudence que certain·e·s pourraient préférer respecter, pour une raison ou l’autre, ce qu’il nous revient de respecter.